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Merci Steph

Une fois de plus Garou n'hésites pas a donné de son temps pour une bonne cause

Je regarderais la vidéo plutard

http://www.clindoeil.ca/beaute/article/13411456

y'a une vidéo sur le coté

je je j'ai pas encore vue la video mais alors la photo est quand même particulierement tuante !!!



Merciiiiiiiii kmi !!

le nouveau parfum de Garou disponible en pharmacie comme si il allait nous soigner

Rien que les photos me font l'effet contraire

Si ce nouveau parfun soigne...........ta passion Vachette

soigne ma passion ? comment ça ?

Sinon voici un nouvel article

Pas de syndrome post-traumatique
Michelle Coudé-Lord
03-04-2010 | 04h00

N’allez pas croire que Garou, un des plus grands ambassadeurs du Québec à l’étranger, souffre d’un syndrome post-olympique après sa contre-performance à la cérémonie d’ouverture aux Jeux de Vancouver.

C’est mal connaître l’artiste authentique et l’homme vrai qu’il est. Le Gentleman Cambrioleur continue la route et n’a qu’une intention: «aller encore plus haut, plus loin. »

Même s’il préférerait ne pas en reparler, Garou fera ce commentaire sur sa performance à Vancouver:

«C’est certain que j’ai déjà mieux chanté, je me suis accroché dans quelques notes, habité par une trop grande émotion. Mais ce n’est pas vrai, comme certains se sont amusés à le dire, que je ne chante pas bien.


Au fait, je me suis tellement fait dire le contraire depuis des années que j’ai reçu ces critiques comme une belle leçon d’humilité », confie l’artiste en entrevue au Journal à quelques jours de prendre d’assaut la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, après une absence de six ans sur une scène au Québec.

Il avait fait alors le Centre Bell. Pourquoi la Place des Arts? Tout simplement parce que c’est la salle parfaite pour ce spectacle concept du Gentleman cambrioleur qui dévoilera le Garou crooner habité par son âme de rockeur. Avec Garou, le rockeur n’est jamais trop loin.

«Sur scène, je vis. C’est moi grandeur nature. C’est là où j’ai ma véritable raison d’être. Tout est vrai. Et je dois dire que ce show-là montre toutes les facettes de l’artiste que je suis. Mon album Gentleman cambrioleur n’était que le carnet d’invitation » dit-il.

LE ROCKEUR CROONER

Garou crooner… il y a quelques années, un certain David Foster lui avait suggéré de prendre cette voie. C’était bien avant Michael Bublé. Garou a dit non. Il n’était pas prêt. Et Garou, en homme libre et en artiste décidé, fait les choses lorsqu’il les sent, lorsqu’il peut les toucher vraiment.

Il faut que ça le fasse vibrer, car comme il le dit «je ne fais rien à moitié.» «À ce moment-là, je voyais cela comme un carcan.»

Il a donc décidé de jouer avec le style crooner quand il en a eu pleinement envie. Son album Gentleman cambrioleur fut son rendez-vous.

«Je sens que cet album et le spectacle qui l’accompagne est une étape importante de ma carrière. C’est ce que j’ai présenté de plus complet. Ce projet m’a fait beaucoup évoluer humainement. Je touche à tous mes univers musicaux.»

Bien appuyé par des collaborateurs d’expérience, comme les Denis Bouchard, Geneviève Dorion-Coupal et Nico Labbé, Garou promet «un show généreux et riche en émotions. Ce sera très classe. J’aurai sept musiciens. Y’a juste des humoristes habituellement qui peuvent se payer ce genre de spectacle», lance-t-il en riant.

UNE ÉTAPE IMPORTANTE

On le sent fébrile. En même temps, on a l’impression qu’il s’apprête à vivre de belles retrouvailles.

«Comme ma carrière à l’échelle internationale va bien, j’ai honte de ne pas avoir donné autant au Québec au cours des dernières années. Mais ici, c’est mon chez-moi. Au Québec je vis, ailleurs je travaille. Je me sens comme cela. Les gens ne doivent jamais oublier que je suis un Québécois de coeur. Mon Québec, c’est ma terre, mes racines et, actuellement, j’ai besoin de me ressourcer», confie Garou le plus sérieusement du monde.

GAROU… LE CONTEUR

Il ne sait pas vraiment pourquoi, mais il sent qu’avec ce spectacle, il termine un chapitre de sa carrière.

«Je ne sais pas trop ce qui va se passer après le Gentleman cambrioleur. Tout ce que je sais, c’est que j’ai commencé à écrire mes propres chansons. J’ose et j’ai des choses à raconter. Je sens le conteur en moi prendre vie. Je vais me faire confiance. C’est sans doute cela, la maturité de l’artiste. Ce retour chez nous me donne cette assurance. Faut savoir retourner à ses racines pour grandir... Je suis là au pied de mon arbre et je me nourris», nous dit Garou avec son sourire de petit gars.

Jamais les paroles de la chanson de Jean-Pierre Ferland, Toujours plus haut, toujours plus loin ont aussi bien défini le Gentleman cambrioleur.

Garou et son spectacle Gentleman cambrioleur, sera à la Place Des Arts de Montréal, les 10 et 11 avril prochain; au Capitole de Québec les 15 et 16 avril, et à l’Olympia de Paris en mai.

marchi

Garou a eu un plaisir gamin, à prendre son rôle de Gentleman cambrioleur, pour le photographe du Soleil. Le personnage est au coeur de son nouveau spectacle de crooner, où il renoue avec son côté comédien.

Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

Josianne Desloges
Le Soleil

(Québec) À Sherbrooke, à la fin des années 80, on l'appelait encore Pierre Garand. Son band de soul s'appelait les Untouchables. Ensuite ce fut Quasimodo dans Notre-Dame de Paris. Puis, Garou le chanteur de ballades, la coqueluche de ces dames, au Québec et en Europe, qui se fait offrir des chansons par les paroliers les plus courus. Fin trentaine, toutefois, les doigts commencent à lui démanger... Garou a bien envie de prendre la plume pour la première fois et de se raconter.

Garou est né comme artiste populaire en 1998. «On a parlé de toi comme du nouveau rockeur francophone, une sorte de Johnny Hallyday. Mais maintenant, je te vois davantage comme une sorte de Brel», lui a dit l'été dernier Luc Plamondon, encore très proche du chanteur plus de 12 ans après leur rencontre. «Moi, je ne me considère comme ni l'un ni l'autre, mais un peu des deux», commente le principal intéressé.

Au sommet, sans répertoire

Avec Notre-Dame de Paris, il a été propulsé dans le métier instantanément : «Je n'ai même pas eu le temps de me demander si je voulais faire ça comme carrière!» avoue-t-il. Il s'est retrouvé sur les plateaux des plus grosses stations de télévision françaises, sans même avoir d'album. Pendant deux ans, il fait uniquement sur des reprises du spectacle acclamé. «Qui est devenu célèbre en faisant une comédie musicale? Personne! J'étais ben à part, j'étais un drôle d'animal.»

Garou a finalement réussi à se détacher un peu de Notre-Dame, surtout grâce à des rencontres artistiques marquantes. «Je me suis fais offrir des petits bijoux», raconte-t-il. Lorsque Sting l'appelle pour faire un duo en France, il lui lance : «Je ferais bien une de tes tounes, mais t'en as pas! Choisis une des miennes.»

En 2000, Garou lance son premier album solo, Seul, qui sera suivi de Reviens en 2003 et de son album éponyme en 2006. En 2008, un album en anglais intitulé Pieces of my Soul lui permet de revenir à ses racines musicales.

Briser les clichés

«Je suis un gars de musique, mê­me si on m'a souvent considéré com­me un chanteur de ballades pour les filles», souligne-t-il, en avouant avec un clin d'oeil qu'il aime bien que son public soit plus «féminin». Chaque soir, il prend plaisir à regarder les gars, d'abord mal à l'aise, puis happés par le show.

Depuis le lancement de Gentleman cambrioleur, il considère qu'il a «cassé le moule» : «Ceux qui me connaissent voient bien que je suis parti dans un délire. On joue dans les clichés visuels (le look à la James Bond, les faux bijoux), mais pour aller dans l'anticliché musicalement. Je fais quand même les Champs Élysée en blues!»

Nouvelle direction

Garou se considère comme un «récréateur» plutôt qu'un créateur : «J'ai toujours vécu à 300 miles à l'heure, pas de break dans curve. [...] Alors de m'arrêter devant une page blanche pour écrire, ce n'est pas quelque chose qui m'a titillé jusqu'à maintenant. Là, je commence à me calmer un peu.»

Rien à voir avec la volée de bois vert qu'a suscitée sa prestation aux Jeux olympiques : «Il y a une partie de moi qui se dit que j'aurais dû fitter dans le moule, au lieu d'être le clown qui chante live... mais ça ne dure que quelques secondes».

Il a tourné partout dans le monde (France, Québec, Russie, Pologne, Liban, Israël...), est beaucoup sorti... «Been there, done that, bought the t-shirt», résume-t-il. «Maintenant, j'ai des choses à raconter.» Il veut mijoter un album aux accents éclectiques. Et oui, il y aura des ballades, «ce sera sûrement les extraits radio», blague-t-il.

Les sens de garou

Le son que tu aimes le plus?

«La voix de ma fille, la plus belle des musiques. Surtout quand je la chatouille. J'adore le petit "Arrêêête!" qui veut dire Continue!»

La chose la plus bizarre que tu aies vue?

«Une forêt à Hawaii, ou j'avais l'impression que tout était démesuré, que j'étais dans Honey, I Shrunk the Kids. Je passais les Fêtes à Big Island, où il y a tous les hippies qui vivent en nature au milieu du Pacifique.»

Qu'est-ce qui te fait saliver?

«J'ai eu plusieurs restaurants, je trippe bouffe, j'aime goûter. Ce qui me fait saliver passe souvent par les yeux. C'est vrai aussi pour les femmes...»

L'odeur qui te rappelle ton enfance?

«De loin, l'odeur de l'essence. C'est mon odeur préférée. Je fais le plein, pis je me retrouve au garage de mon père. C'est sûr que si un jour on arrête de rouler à l'essence, je vais me faire trois ou quatre flacons avant.»

Qu'est-ce que tu aimes toucher sur scène?

«Il faudrait toujours que je tapoche sur quelque chose. En show, j'ai le tic de me taper la cuisse. J'ai besoin de créer du rythme, des vibrations, ça me garde groundé.»

Que sera la musique dans 20 ans?

«Ça ne fait même pas 100 ans qu'on amène la musique chez nous, alors qu'elle a toujours existé. Elle a muté dans un univers électronique, et va muter encore. Bientôt, tout le monde va créer et avoir sa propre musique.»

Un autre article du même site



(Québec) Garou aime jouer. Après une conversation très sérieuse avec une enfant, qui lui déclare être un vampire et ne pas aimer les loups-garous, et une séance d'autographes impromptue pour des touristes japonais, il entre avec un plaisir gamin, de connivence avec notre photographe, dans son rôle de Gentleman cambrioleur. Le personnage est au coeur de son nouveau spectacle de crooner, où il renoue avec son côté comédien.

À l'origine, le terme crooner vient de «murmurer». Une nouvelle façon de chanter pour celui qui se décrit comme «une terreur pour les gars de son» : «J'ai toujours chanté fort [...] Mais d'aller chercher quelque chose de plus sensuel, de chuchoter, ça permet une proximité. On peut presque entendre la salive», décrit-il.

Sur le disque Gentleman cambrioleur, il reprend le célèbre thème de la série Arsène Lupin et l'incontournable I love Paris, mais surtout des chansons plus pop et rock. «Le fait d'aller chercher un autre répertoire pour faire des chansons de crooner, c'était ma façon de réactualiser le genre.»

New Years Day, de U2, est «sa petite préférée» : «C'est une chanson sur la chute du communisme et sur de gros combats livrés en Pologne, certains très sanglants, mais c'est une chanson d'amour en même temps. C'est assez spécial.» Il s'est aperçu qu'en y accolant une musique plus lente, plus feutrée, il pouvait faire ressortir davantage le propos. Même constat avec Sorry, de Madonna : «De le faire dans un petit lounge, avec un martini, ça a pas le même impact», expose le chanteur.

Il s'est monté une véritable petite troupe, six musiciens et une choriste, tous québécois. «Ça me manquait, le trip de gang», avoue-t-il. «J'aurais pu y aller en trio jazz, mais je voulais donner plus au public.» Il retrouve ses vieux complices Nino Fabi, au piano, et Dany Roy, à la direction musicale, au saxophone et à la trompette. Un instrument avec lequel il a décidé de renouer : «Je veux redevenir bon. C'est traître, la trompette. Quand tu arrêtes, tu perds les muscles des joues, de la bouche... C'est très physique.» Dans le spectacle, il joue également de la guitare électrique et acoustique et du piano.

Voici un article bien agréable à lire (lien donné par Marine du forum *Le Sherbrookois de nos coeurs" )

http://www.showbizz.net/articles/20100407143754/garou_gentleman_charmeur.html

merci pour les articles!

merci

je savais pas ou mettre ça alors je met ici
si vous voulez voir des photo de Garou a l alpage en Suisse MDR c'est ici

https://www.facebook.com/group.php?gid=104887899555653

nouni a écrit:

je savais pas ou mettre ça alors je met ici
si vous voulez voir des photo de Garou a l alpage en Suisse MDR c'est ici

https://www.facebook.com/group.php?gid=104887899555653

Merci nouni Y'a de très belles photos et d'autres sont minuscules ! J'aime bien celle avec le toutou

Concernant l'emplacement , tu aurais pue le mettre dans le coffre aux trésors " Pour le plaisir des yeux" mais bon c'est pas bien grave hein

ouais j aurai pu mettre ailleur depuis les années je suis toujours aussi gauche avec le fofo MDR

merci !!! c'est vrai qu'elles sont belles

de trés belle photo toujours aussi disponible notre garou ca fait plaisir a voir

Voici un article qui parle un peu du concert de ce soir mais qui surtout nous donne un peu plus d'information sur le prochain album de notre loup..qui d'aillieur a eu une idée de chanson à écrire aujourd'hui !

Garou, l'équilibriste

Garou en clôture du festival de jazz de l'Hospitalet, lundi, ça peut en surprendre plus d'un. Et pourtant! Le chanteur a débuté dans les clubs de jazz et de blues québécois avant de se faire connaître en France avec la comédie musicale «Notre-Dame de Paris». A l'époque, il avait même joué du jazz en France, aux arènes de Nice. «Et je joue au crooner dans mon dernier dernier album, Gentleman cambrioleur», nous précise le chanteur. «Pour le concert à l'Hospitalet, je ne voudrais pas trop jazzifier mes chansons, mais je resterai dans le ton. Et le concert commencera par de la trompette!».

Garou a pris du plaisir à retourner au jazz, quitte à perdre au passage son statut de grande gueule : «Le verbe crooner veut dire murmurer en anglais. C'est vrai que je baisse de plus en plus la voix. Dans les bars, à mes débuts, j'avais besoin de crier pour me faire entendre. J'ai grandi à cette école. Mais après Notre-Dame, j'avais l'impression qu'on me demandait toujours de gueuler. Ça m'a lassé». Le chanteur n'en prépare pas moins un album un peu plus rock, plus dynamique, pour «recommencer à crier un peu». Éviter de «routiner», se diversifier, et continuer à surprendre : Garou, en grande confiance, est dans une période touche-à-tout. «Musicalement, j'ai trouvé un équilibre éclectique». Personnellement aussi, entre la France, son terrain de jeu préféré, et le Québec où vit sa fille. «Je dis souvent que je fais les trois tiers: un tiers de mon temps en France, un tiers au Québec et un tiers ailleurs!». En vrai bourreau de travail, Garou ne s'arrête jamais: «Je me sens tellement bien, je suis à fond, et c'est parfait pour écrire. Je me sens libre, même équilibre ! Tient, ça pourrait être un titre de chanson, ça: «Je me sens équilibre» ! C'est très bien, ça va me donner du boulot pour la journée!».

Encore un article qui parle de concerts mais aussi de son prochain album , c'est compliqué du coup je savais pas si valait mieux le mettre dans articles de concerts ou dans l'actualité du coup je le mets là tant pis

Le Festival "Jazz à l'Hospitalet" se termine ce lundi soir (22 h) par le concert de Garou qui alliera reprises et tubes personnels pour charmer l'auditoire de sa voix unique et chaude. Un passage très attendu avec un artiste qui a chanté le jazz, comme tant d'autres styles. Lui, l'éclectique interprète venu du Québec !

Comment se porte ce "Gentleman cambrioleur" sur scène ?

"Il se porte très très bien, c'est un régal ! Quand je tournais à mes débuts avec des groupes différents, je faisais des soirées un peu plus crooner. Cela me manquait énormément. Bon, je n'arrive pas à me contenir tout un spectacle, il faut que ça bouge plus tard dans la soirée, mais débuter le spectacle par un côté crooner, je trouve ça formidable. C'est la classe, le gentleman, j'ai toujours aimé ça et ça me plaisait bien de... trouver un prétexte pour le faire !".

Comment est construit le spectacle ? Avec les chansons de l'album "Gentleman cambrioleur", soit des reprises de grands artistes, et avec vos succès à vous ?

"Tout à fait, et c'est dans cela que je trouve une sorte d'harmonie. Et j'en reviens à la période d'avant Notre-Dame de Paris, pendant laquelle je chantais avec divers groupes de styles différents. Je faisais de la soul, du rock, du jazz. D'où l'envie d'avoir un équilibre musical par l'éclectisme et je le réalise dans ce spectacle-là. Il faut le voir pour le comprendre. Je passe de la trompette au piano pour terminer à la guitare. Il y a une progression dans ce spectacle qui est très intéressante. Un équilibre dans tous ces styles de musique que j'arbore fièrement parce que j'adore ça. Des artistes préfèrent garder toujours une même identité musicale, alors que moi...".

Vous êtes tellement à l'aise dans tous les styles de musique !

"C'est mon gros problème ! (rire) Je n'ai pas cette identité tracée, alors des compositeurs me disent parfois que c'est difficile d'écrire pour moi. Mais je ne changerais pour rien au monde, parce que j'apprécie de vivre toute cette palette d'émotions musicales. C'est un peu comme écouter de la musique, je suis un très bon client de tout, et selon mon humeur, j'écoute tel genre ou tel autre. Dans ma voiture, j'ai tous les genres de musique. Et selon mon humeur, je vais me servir".

Le jazz, pour vous, représente beaucoup ?

"J'en ai fait beaucoup. J'ai eu la chance de jouer très jeune avec des professeurs de l'Université de Montréal. J'avais d'ailleurs été très étonné à l'époque, je me demandais ce qu'ils me trouvaient pour accepter de jouer avec moi ! J'ai toujours aimé le jazz, autant que crooner, je le sépare un peu avec cette fascination que j'avais pour le calme, moi qui ai été un chanteur fort... C'est bien de se calmer et de revêtir ce fameux costume du gentleman... Le jazz, on dit que c'est pour les grands amateurs de musique, voire les musiciens, mais c'est tout simplement de la stimulation musicale, on a besoin de ça !".

Quelle est la reprise que vous préférez dans votre spectacle ?

"La chanson "New years day", c'est ma petite préférée sur l'album, mais j'avoue que sur scène j'irais plus vers "Do you think I'm sexy" qui est pas un truc que j'aurais repris de Rod Stewart naturellement. Quand on me l'a proposé, je me suis dit, tiens pourquoi pas. Je ne pensais jamais me coller à ce point-là avec cette chanson sur scène".

Vous connaissez Narbonne ?

"Pas tellement, j'y suis déjà passé sans m'y arrêter, mais je compte découvrir. En tout cas, je suis très heureux de participer à ce Festival, qui est la seule date que je fais cet été en France. A part le Québec, j'ai chanté en Tunisie puis ce sera Narbonne ce lundi et basta. Ces dates, ces deux sauts de l'été, c'est ma thérapie !"

Vous savez que vous serez au coeur d'une région viticole, avec d'excellents vins !
"Ben, ouais... On va faire les emplettes !".

Après la parenthèse française à Narbonne, quels sont vos projets ?

"Je suis actuellement au bord de mon lac en studio, au Québec, en train de concocter le prochain album. Je ne suis pas encore officiellement en studio pour l'enregistrement, plutôt dans l'écriture de chansons. Mais déjà à fond sur la prochaine étape. Il devrait sortir peut-être à la fin de cette année, ou au début de l'année prochaine...".

j'adoooooooooooooooooooooore

merci !!!

alalala j'adore ce genre d'article !! surtout sa dernière réponse

ouiiiiiiiiiiiiiiii mmmmmmmmmmmm